La CSEN a été reçue par le ministre Gilles de Robien au sujet de la carte scolaire le mercredi 20 septembre 2006
La CSEN reçue par le ministre de l’E.N. à propos de la carte scolaire
Le mercredi 20 septembre, une délégation de la CSEN composée de Bernard Kuntz, François Portzer et Claire Mazeron pour le SNALC, Jean-Claude Halter pour le SNE et Max Boyer pour V.I.E., a été reçue par M. de Robien afin de connaître notre analyse du problème de la carte scolaire.
A cette occasion, nous avons rappelé notre opposition à l’abrogation de la carte scolaire, même si nous acceptons le principe de quelques aménagements dans des zones socialement homogènes. En effet, bien que la question de la carte scolaire ait des implications qui dépassent le champ traditionnel de l’éducation nationale (ainsi, les taux migratoires urbains ou les prix de l’immobilier), ce n’est pas, pour la CSEN, n’en déplaise à une certaine actualité électorale, la question centrale de l’éducation nationale : si, comme le préconise la CSEN, une refonte globale du système éducatif était entreprise, remettant en cause le collège unique et permettant la création de pôles d’excellence dans tous les établissements, les stratégies d’évitement utilisées par certains parents n’auraient plus lieu d’être.
Dans un climat très cordial, M. de Robien a pris bonne note de ces remarques dans le cadre de futures propositions qui seront rendues publiques en janvier prochain.
Le mercredi 20 septembre, une délégation de la CSEN composée de Bernard Kuntz, François Portzer et Claire Mazeron pour le SNALC, Jean-Claude Halter pour le SNE et Max Boyer pour V.I.E., a été reçue par M. de Robien afin de connaître notre analyse du problème de la carte scolaire.
A cette occasion, nous avons rappelé notre opposition à l’abrogation de la carte scolaire, même si nous acceptons le principe de quelques aménagements dans des zones socialement homogènes. En effet, bien que la question de la carte scolaire ait des implications qui dépassent le champ traditionnel de l’éducation nationale (ainsi, les taux migratoires urbains ou les prix de l’immobilier), ce n’est pas, pour la CSEN, n’en déplaise à une certaine actualité électorale, la question centrale de l’éducation nationale : si, comme le préconise la CSEN, une refonte globale du système éducatif était entreprise, remettant en cause le collège unique et permettant la création de pôles d’excellence dans tous les établissements, les stratégies d’évitement utilisées par certains parents n’auraient plus lieu d’être.
Dans un climat très cordial, M. de Robien a pris bonne note de ces remarques dans le cadre de futures propositions qui seront rendues publiques en janvier prochain.
