Dans les faits, c’est à chaque établissement, voire à chaque professeur, qu’on a laissé l’appréciation du respect du principe de laïcité, source d’incohérence et d’inaction. On ne peut que souhaiter, désormais, qu'aucun professeur ne soit seul face aux problèmes de « dérives religieuses » dans nos établissements. Pour cela, il faut un cadre national.
Pour le SNALC, il est essentiel que nos écoles, collèges, lycées enseignent la liberté de chacun de croire ou de ne pas croire, et que nulle croyance ne peut s’imposer dans l’espace public. Mais c’est par l’exemple et l’organisation du quotidien que cet enseignement passe, non par un discours formel et incantatoire.
Depuis toujours sensible à cette question, le SNALC est disposé à participer à la réflexion institutionnelle qui va s’engager, il l’espère sans délai.
Contact :
Albert-Jean MOUGIN, Vice-Président du SNALC-FGAF, ajmougin@laposte.net
Pour le SNALC, il est essentiel que nos écoles, collèges, lycées enseignent la liberté de chacun de croire ou de ne pas croire, et que nulle croyance ne peut s’imposer dans l’espace public. Mais c’est par l’exemple et l’organisation du quotidien que cet enseignement passe, non par un discours formel et incantatoire.
Depuis toujours sensible à cette question, le SNALC est disposé à participer à la réflexion institutionnelle qui va s’engager, il l’espère sans délai.
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Albert-Jean MOUGIN, Vice-Président du SNALC-FGAF, ajmougin@laposte.net